« Un nouveau joyau de la haute horlogerie. » C’est en ces termes élogieux qu’est qualifiée, dans le communiqué de LVMH daté de mardi, la marque L’Épée 1839, désormais propriété du numéro un mondial du luxe. Pour la manufacture de pendulettes, née en 1839 à Sainte-Suzanne, près de Montbéliard, c’est incontestablement une forme de couronnement ; Bernard Arnault, aussi riche soit-il, n’a pas l’habitude de gaspiller son argent en misant sur des marques de seconde zone.
Il est vrai que depuis quelques années, L’Épée scintillait de mille feux dans la galaxie horlogère. Un rayonnement dû à la vision d’un homme, Arnaud Nicolas. Lorsqu’il reprit les commandes de la maison, relocalisée à Delémont, il la propulsa illico dans une nouvelle dimension. Plus moderne que la pionnière pendulette d’officier un tantinet empoussiérée.
Les nouveautés maison ont séduit, aboutissant à de jolies collaborations, aussi bien avec MB&F qu’avec The Unnamed Society. Lors du dernier Grand Prix d’horlogerie de Genève, L’Épée décrochait la palme dans la catégorie des horloges mécaniques.
C’est donc désormais sous la flamboyante bannière LVMH, aux côtés des fleurons horlogers que sont Zenith, Hublot et TAG Heuer que L’Épée dégainera ses pendulettes d’un nouveau genre.
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