Deux perles à saisir : une villa à Marseille signée Gérard Martens ; en Corse, deux néobergeries. Et aussi : où migrent les Franciliens ?
Rubrique dirigée par Bruno Monier-Vinard
Publié le 27/05/2023 à 07h05
Temps de lecture : 1 min
L‘été venant, deux bains de nature cherchent preneur sous le soleil méditerranéen. À Marseille, entre Périer et le Roucas-Blanc, le groupe Michaël Zingraf commercialise à 2,550 millions d’euros une paisible villa d’inspiration Bauhaus, livrée en 2018 par l’architecte Gérard Martens : 325 mètres carrés habitables, un damier de baies vitrées, six chambres avec vue sur les pins parasols que reflète une vaste piscine à débordement. Autre villégiature de rêve, cet ensemble de deux néobergeries à toits de tuiles que Barnes propose à 5 millions d’euros en surplomb des plages corses de Palombaggia, vers Porto-Vecchio. Ses arguments ? Une piscine (avec jacuzzi et pool house) noyée au milieu des oliviers et 4 000 mètres carrés de maquis en restanques. Et, là encore, six chambres, ouvertes sur les flots bleu turquoise ou marine, et la Sardaigne.
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PALOMBAGGIA (CORSE)
Un terrain de pétanque se niche dans l’oliveraie de la propriété.
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PALOMBAGGIA (CORSE)
Vue plongeante sur le bassin privé, véritable miroir d’eau vert émeraude.
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PALOMBAGGIA (CORSE)
Le courant de la piscine réplique le clapotis des vagues de l’île de Beauté.
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PALOMBAGGIA (CORSE)
Vue d’ensemble de Palombaggia, situé sur la commune de Porto-Vecchio.
– 8,4 %
C’est le recul de la production de crédits immobiliers en 2022 (180 milliards d’euros), déstabilisée par la hausse des taux d’intérêt, les pertes de pouvoir d’achat et le resserrement d’accès au crédit.
Source : Observatoire Crédit Logement/CSA.
Migrations franciliennes
Dans quelle zone géographique les habitants d’Île-de-France choisissent-ils de faire construire leur maison individuelle ? Selon le nouveau baromètre Domexpo, mené en partenariat avec le cabinet d’études Caron Marketing, près des deux tiers d’entre eux restent fidèles à leur région d’origine. Les départements de prédilection ? La Seine-et-Marne (31 %), suivie des Yvelines (23 %) et de l’Essonne (20 %). Mais de plus en plus de ménages choisissent de s’installer là où les disponibilités et les prix du foncier sont plus accessibles qu’en région parisienne : 38 % en 2022, contre 36 % en 2021, et 29 % en 2018. Les principales zones d’attraction ? L’Oise, l’Eure-et-Loir et l’Eure. Plus éloignée, la façade atlantique séduit aussi un tiers de ces ménages, et la bordure méditerranéenne attire 10 % des acquéreurs, le Var et l’Hérault figurant dans le peloton de tête des départements les plus ciblés.
Michaël Zingraf/Christie’s International Real Estate (x4) – Barnes (x 3) –
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